La chaleur du foyer et le feu rassurant
Dehors le jour quittant et la nuit arrivant
L’amour pellotonnée sombrant a mon coté
Alertée par le vent sans vraiment s’eveiller
Le marron de ses yeux devoilé un moment
Le feu s’y refletant n’en est que plus brillant
Le sommeil lui revient mon bras pour oreiller
Tout en serrant le mien etreint ceux de Morphée
Il n’est rien a feter,ou même a celebrer
Si ce n’est cet instant ou rien n’est arrivé
Aucune action d’eclat, rien a en raconter
Juste a peine de quoi continuer a l’aimer
Une lecon oubliée il y’a deja longtemps
D’avoir eté assis trop souvent sur un banc
Un bruit de fond constant,le chahut du lycée
Et elle pres du tableau perdue dans ses pensées
Je voulait deviner ce qu’elle etait vraiment
Un beau reve eveillé ou belle au bois dormant
L’heure finalement passée ,je vais pour me lever
Elle qui se leve aussi s’avoue realité
Il n’est rien a feter,ou même a celebrer
Si ce n’est cet instant ou rien n’est arrivé
Aucune action d’eclat,rien a en raconter
Juste a peine de quoi commencer a l’aimer
La jeunesse evanouie n’est que brise de temps
Nous sommes la tous les deux entourés des enfants
Le petit s’eveillant,commencant a crier
Reveillant ses deux soeurs que j’entend se lever
Le petit dejeuner,le bureau qui m’attend
Sans oublier ce soir diner chez ses parents
Pourtant je la sait la,toujours a mes cotés
Plus jolie que jamais Malgres le temps passé
Il n’est rien a feter,ou même a celebrer
Si ce n’est cette vie ou rien n’est arrivé
Aucune action d’eclat,rien a en raconter
Si ce n’est que je l’aime et l’ai toujours aimer.